L’IA, un nouvel internet… sans condition
Le web va-t-il être remplacé par l’IA ? C’est en tout cas la perspective à laquelle travaille les grands acteurs de la tech.
Le web va-t-il être remplacé par l’IA ? C’est en tout cas la perspective à laquelle travaille les grands acteurs de la tech.
Emily Bender et Alex Hanna publient The AI con, « L’escroquerie de l’IA ». Une synthèse très documentée qui nous invite à lutter contre le monde que nous proposent les géants de l’IA. Lecture.
Le rapport 2025 de l’AI Now Institute esquisse des modalités pour reprendre le contrôle sur les déploiements de l’IA et renverser le pouvoir des grands acteurs de l’IA. Rien de moins !
Encourager les élèves à un usage responsable de l’IA semble plus facile à dire qu’à faire. Notamment parce que l’IA place la déqualification au coeur même de l’apprentissage. Derrière la question morale de la triche, il faut surtout observer le malaise social à l’oeuvre. L’IA n’est certainement pas le grand égalisateur qu’on pense.
L’IA générative est en train de transformer en profondeur le monde de l’éducation, où les élèves l’utilisent massivement pour faire leurs devoirs. Entre dénis et illusions, comment s’adapter ? Faut-il s’adapter ?
« Nous sommes le Comité humain du numérique et nous avons écrit des lois à partir de nos vécus : pour que le numérique s’adapte à l’humain et non l’inverse »
Sur la scène d’USI, le neuroscientifique Albert Moukheiber en appelle à améliorer la prise en compte de la subjectivité.
Calculer l’impact énergétique de l’utilisation de l’IA n’est pas aussi simple que de mesurer la consommation de carburant d’une voiture.
Les chatbots ne font pas que calculer des réponses, ils calculent en permanence leur interlocuteur pour adapter au mieux leurs réponses. Les LLM hallucinent et nous font croire en leurs hallucinations. Mais plus encore, ils nous hallucinent nous-mêmes !